Distinción "Buena Práctica en Participación Ciudadana" 2023

L'urbanisme nécessitant trop d'expertise, bénéficier des méthodes participatives en urbanisme est relativement difficile, TOPUK est à cet égard un exemple quasi inédit de cette expérience. Les méthodologies appliquées tout au long du projet peuvent éclairer d'autres tentatives d'urbanisme.

Ce projet se concentre sur l'amélioration des mobilités sexospécifiques et la promotion de paysages de rue plus inclusifs qui répondent aux besoins des femmes dans le cadre de la société au sens large. Alors que l'objectif principal de l'étude de cas est d'améliorer l'accès aux transports en commun, la compréhension sous-jacente que nos expériences de mobilité sont holistiques et doivent être traitées comme telles a abouti à des idées de conception concernant les loisirs, la socialisation, la sécurité générale et le confort dans l'expérimentation de la rue. 

Dans le projet TOPUK, ces objectifs ont été atteints grâce à une méthodologie et un processus de projet clairs employés par un partenariat multipartite équilibré. Les processus de planification et de conception participatifs sont également essentiels pour atteindre ces objectifs, car ils garantissent que les voix et les expériences des femmes sont intégrées dans le processus de conception des rues, conduisant à des espaces publics plus inclusifs et accessibles pour tous.

Les résultats de ce projet révèlent certains points qui peuvent être utiles pour orienter les futurs travaux d'expérimentation de rue à Maltepe et ailleurs. Parmi ceux-ci figurent l'adoption d'une approche plus égalitaire dans la sélection des groupes cibles pour les événements participatifs, l'utilisation d'activités de renforcement d'équipe parmi les partenaires du projet et d'autres parties prenantes concernées afin d'accroître l'efficacité du processus de prise de décision, et l'adoption d'une approche plus systématique de la faisabilité de décisions de conception à court, moyen et long terme dès le début de la phase de planification. De cette façon, le succès des expériences de rue peut être davantage assuré ainsi qu'un changement systémique de la mobilité urbaine loin de la domination du trafic motorisé et des stratégies qui donnent la priorité aux besoins des femmes dans la planification des transports urbains.

Même si l'intervention de cas n'était pas « réservée aux femmes », les processus participatifs ont intégré avec succès les idées des femmes sur le quartier dans la conception et la mise en œuvre. Une critique possible pourrait être l'absence d'une conception de processus participatif plus inclusive des femmes, dans laquelle un ou plusieurs des événements participatifs auraient pu être adaptés exclusivement aux femmes plutôt qu'au grand public. Cependant, après avoir reconnu que « les interventions visant à améliorer l'accès aux services et équipements de la ville pour l'un profiteront probablement à l'autre », les participants de la communauté locale et les acteurs du projet se sont efforcés pour une expérience de rue inclusive de tous. En ce sens, nous nous inspirons de l'appel à la « réinvention féministe des espaces publics comme inclusifs, attentionnés, confortables, sociables et ludiques ». Sur ce point, il convient également de mentionner que dans la plupart des cas, les femmes constituant la moitié de la société, leurs besoins de mobilité répondent à ceux de la société dans son ensemble. Par conséquent, les expériences de rue intégrant le genre peuvent être la voie à suivre pour créer des paysages de rue plus inclusifs.

En savoir plus :

• www.maltepe.bel.tr 

Dado que la planificación urbana requiere demasiados conocimientos técnicos, aprovechar los métodos participativos en la planificación urbana es relativamente difícil; en este sentido, TOPUK es casi un ejemplo sin precedentes de esta experiencia. Las metodologías aplicadas a lo largo del proyecto pueden arrojar luz sobre otros intentos de planificación urbana.

Este proyecto se centra en mejorar las movilidades de género y promover paisajes urbanos más inclusivos que atiendan a las necesidades de las mujeres como parte de la sociedad en general. Aunque el objetivo principal del estudio es mejorar el acceso al transporte público, la idea subyacente de que nuestras experiencias de movilidad son holísticas y deben tratarse como tales ha dado lugar a ideas de diseño relativas al ocio, la socialización, la seguridad general y la comodidad en la experimentación callejera. 

En el proyecto TOPUK, estos objetivos se llevaron a cabo mediante una metodología y un proceso de proyecto claros, empleados por una asociación equilibrada de múltiples partes interesadas. Los procesos participativos de planificación y diseño también son esenciales para alcanzar estos objetivos, ya que garantizan que las voces y experiencias de las mujeres se incorporen al proceso de diseño de las calles, lo que conduce a espacios públicos más inclusivos y accesibles para todos.

Las conclusiones de este proyecto revelan algunos puntos que pueden ser útiles para orientar futuros trabajos de experimentación callejera en Maltepe y en otros lugares. Entre ellos se encuentran la adopción de un enfoque más igualitario a la hora de seleccionar los grupos destinatarios de los actos participativos, el empleo de actividades de creación de equipos entre los socios del proyecto y otras partes interesadas para aumentar la eficacia del proceso de toma de decisiones, y la adopción de un enfoque más sistemático de la viabilidad de las decisiones de diseño a corto, medio y largo plazo desde el principio de la fase de planificación. De este modo, se puede garantizar aún más el éxito de los experimentos en las calles junto con un cambio sistémico en la movilidad urbana que se aleje del predominio del tráfico motorizado y estrategias que den prioridad a las necesidades de las mujeres en la planificación del transporte urbano.

Aunque la intervención del caso no fue \"sólo para mujeres\", los procesos participativos incorporaron con éxito las percepciones de las mujeres del barrio en el diseño y la implementación. 

Una posible crítica podría ser la falta de un diseño del proceso participativo más inclusivo para las mujeres, en el que uno o más de los eventos participativos podrían haberse adaptado exclusivamente a las mujeres en lugar de al público en general. Sin embargo, tras reconocer que \"las intervenciones para mejorar el acceso de unos a los servicios y comodidades de la ciudad beneficiarán probablemente a los otros\", los participantes tanto de la comunidad local como de los agentes del proyecto se esforzaron por lograr un experimento callejero que incluyera a todos. 

En este sentido, nos inspira el llamamiento a la \"reimaginación feminista de los espacios públicos como espacios inclusivos, solidarios, cómodos, sociables y lúdicos\". En relación con este punto, también cabe mencionar que, en la mayoría de los casos, dado que las mujeres constituyen la mitad de la sociedad, sus necesidades de movilidad abordan las de la sociedad en su conjunto. Por lo tanto, la integración de la perspectiva de género en los experimentos callejeros puede ser el camino a seguir para crear paisajes urbanos más inclusivos.

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  Since urban planning requires too much expertise, benefiting from participatory methods in urban planning is relatively difficult, in this regard TOPUK is almost an unprecedented example of this experience. The methodologies applied throughout the project can shed light on further urban planning attempts.

  This project focuses on improving gendered mobilities and promoting more inclusive streetscapes that cater to the needs of women as part of the greater society. While the primary objective of the case study is to improve access to public transport, the underlying understanding that our mobility experiences are holistic and should be handled as such has resulted in design ideas concerning recreation, socializing, general safety, and comfort in street experimentation. 

  In the TOPUK project, these objectives were undertaken through a clear project methodology and process employed by a balanced multi-stakeholder partnership. Participatory planning and design processes are essential in achieving these goals as well, as they ensure that women’s voices and experiences are incorporated into the street design process, leading to more inclusive and accessible public spaces for all.

  The findings of this project reveal some points that may be helpful in steering future street experiments work in Maltepe and elsewhere. Among these are adopting a more egalitarian approach in selecting target groups for participatory events, employing team building activities among project partners and other relevant stakeholders in order to increase the efficiency of the decision-making process, and adopting a more systematic approach to the feasibility of design decisions in the short, medium, and long terms starting from the beginning of the planning phase. This way, the success of street experiments can be further ensured along with systemic change in urban mobility away from motorized traffic dominance and strategies that prioritize the needs of women in urban transport planning.

  Even though the case intervention was not ‘women-only’, the participatory processes successfully incorporated women’s insights into the neighborhood into design and implementation. 

  
  

  One possible criticism might be the lack of a more women-inclusive participatory process design, in which one or more of the participatory events could have been tailored exclusively to women instead of the general public. However, having acknowledged that “interventions to improve access to city services and amenities for one will likely benefit the other”, participants from both the local community and the project actors strove for a street experiment inclusive of all. 

  In this sense, we are inspired by the call for the “feminist reimagining of public spaces as inclusive, caring, comfortable, sociable, and playful”. Regarding this point, it might also be worth mentioning that in most cases, as women constitute half of society, their mobility needs address those of society as a whole. Therefore, gender mainstreaming street experiments can be the way forward in creating more inclusive streetscapes.

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  L'urbanisme nécessitant trop d'expertise, bénéficier des méthodes participatives en urbanisme est relativement difficile, TOPUK est à cet égard un exemple quasi inédit de cette expérience. Les méthodologies appliquées tout au long du projet peuvent éclairer d'autres tentatives d'urbanisme.

  Ce projet se concentre sur l'amélioration des mobilités sexospécifiques et la promotion de paysages de rue plus inclusifs qui répondent aux besoins des femmes dans le cadre de la société au sens large. Alors que l'objectif principal de l'étude de cas est d'améliorer l'accès aux transports en commun, la compréhension sous-jacente que nos expériences de mobilité sont holistiques et doivent être traitées comme telles a abouti à des idées de conception concernant les loisirs, la socialisation, la sécurité générale et le confort dans l'expérimentation de la rue. 

  Dans le projet TOPUK, ces objectifs ont été atteints grâce à une méthodologie et un processus de projet clairs employés par un partenariat multipartite équilibré. Les processus de planification et de conception participatifs sont également essentiels pour atteindre ces objectifs, car ils garantissent que les voix et les expériences des femmes sont intégrées dans le processus de conception des rues, conduisant à des espaces publics plus inclusifs et accessibles pour tous.

  Les résultats de ce projet révèlent certains points qui peuvent être utiles pour orienter les futurs travaux d'expérimentation de rue à Maltepe et ailleurs. Parmi ceux-ci figurent l'adoption d'une approche plus égalitaire dans la sélection des groupes cibles pour les événements participatifs, l'utilisation d'activités de renforcement d'équipe parmi les partenaires du projet et d'autres parties prenantes concernées afin d'accroître l'efficacité du processus de prise de décision, et l'adoption d'une approche plus systématique de la faisabilité de décisions de conception à court, moyen et long terme dès le début de la phase de planification. De cette façon, le succès des expériences de rue peut être davantage assuré ainsi qu'un changement systémique de la mobilité urbaine loin de la domination du trafic motorisé et des stratégies qui donnent la priorité aux besoins des femmes dans la planification des transports urbains.

  Même si l'intervention de cas n'était pas « réservée aux femmes », les processus participatifs ont intégré avec succès les idées des femmes sur le quartier dans la conception et la mise en œuvre. Une critique possible pourrait être l'absence d'une conception de processus participatif plus inclusive des femmes, dans laquelle un ou plusieurs des événements participatifs auraient pu être adaptés exclusivement aux femmes plutôt qu'au grand public. Cependant, après avoir reconnu que « les interventions visant à améliorer l'accès aux services et équipements de la ville pour l'un profiteront probablement à l'autre », les participants de la communauté locale et les acteurs du projet se sont efforcés pour une expérience de rue inclusive de tous. En ce sens, nous nous inspirons de l'appel à la « réinvention féministe des espaces publics comme inclusifs, attentionnés, confortables, sociables et ludiques ». Sur ce point, il convient également de mentionner que dans la plupart des cas, les femmes constituant la moitié de la société, leurs besoins de mobilité répondent à ceux de la société dans son ensemble. Par conséquent, les expériences de rue intégrant le genre peuvent être la voie à suivre pour créer des paysages de rue plus inclusifs.

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  Dado que la planificación urbana requiere demasiados conocimientos técnicos, aprovechar los métodos participativos en la planificación urbana es relativamente difícil; en este sentido, TOPUK es casi un ejemplo sin precedentes de esta experiencia. Las metodologías aplicadas a lo largo del proyecto pueden arrojar luz sobre otros intentos de planificación urbana.

  Este proyecto se centra en mejorar las movilidades de género y promover paisajes urbanos más inclusivos que atiendan a las necesidades de las mujeres como parte de la sociedad en general. Aunque el objetivo principal del estudio es mejorar el acceso al transporte público, la idea subyacente de que nuestras experiencias de movilidad son holísticas y deben tratarse como tales ha dado lugar a ideas de diseño relativas al ocio, la socialización, la seguridad general y la comodidad en la experimentación callejera. 

  En el proyecto TOPUK, estos objetivos se llevaron a cabo mediante una metodología y un proceso de proyecto claros, empleados por una asociación equilibrada de múltiples partes interesadas. Los procesos participativos de planificación y diseño también son esenciales para alcanzar estos objetivos, ya que garantizan que las voces y experiencias de las mujeres se incorporen al proceso de diseño de las calles, lo que conduce a espacios públicos más inclusivos y accesibles para todos.

  Las conclusiones de este proyecto revelan algunos puntos que pueden ser útiles para orientar futuros trabajos de experimentación callejera en Maltepe y en otros lugares. Entre ellos se encuentran la adopción de un enfoque más igualitario a la hora de seleccionar los grupos destinatarios de los actos participativos, el empleo de actividades de creación de equipos entre los socios del proyecto y otras partes interesadas para aumentar la eficacia del proceso de toma de decisiones, y la adopción de un enfoque más sistemático de la viabilidad de las decisiones de diseño a corto, medio y largo plazo desde el principio de la fase de planificación. De este modo, se puede garantizar aún más el éxito de los experimentos en las calles junto con un cambio sistémico en la movilidad urbana que se aleje del predominio del tráfico motorizado y estrategias que den prioridad a las necesidades de las mujeres en la planificación del transporte urbano.

  Aunque la intervención del caso no fue \"sólo para mujeres\", los procesos participativos incorporaron con éxito las percepciones de las mujeres del barrio en el diseño y la implementación. 

  Una posible crítica podría ser la falta de un diseño del proceso participativo más inclusivo para las mujeres, en el que uno o más de los eventos participativos podrían haberse adaptado exclusivamente a las mujeres en lugar de al público en general. Sin embargo, tras reconocer que \"las intervenciones para mejorar el acceso de unos a los servicios y comodidades de la ciudad beneficiarán probablemente a los otros\", los participantes tanto de la comunidad local como de los agentes del proyecto se esforzaron por lograr un experimento callejero que incluyera a todos. 

  En este sentido, nos inspira el llamamiento a la \"reimaginación feminista de los espacios públicos como espacios inclusivos, solidarios, cómodos, sociables y lúdicos\". En relación con este punto, también cabe mencionar que, en la mayoría de los casos, dado que las mujeres constituyen la mitad de la sociedad, sus necesidades de movilidad abordan las de la sociedad en su conjunto. Por lo tanto, la integración de la perspectiva de género en los experimentos callejeros puede ser el camino a seguir para crear paisajes urbanos más inclusivos.

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