Prix "Bonne Pratique en Participation Citoyenne" 2023

The “Comités d’Action Citoyenne” (Citizen Action Committees CAC) are an improvement of the District Councils set up in 2002 by the Vaillant law. There are currently 44 CACs, each based on a micro-district of the city (according to school groups), with an elected referent per CAC, to guarantee the legitimacy of the proposed projects. The CACs are organized as working groups composed mainly of citizens, including local actors (associations, companies, etc.) and are supported and accompanied by representatives of the town hall, whether elected officials or project managers. The functioning of the CAC is set by internal regulations, defined during the very first working meeting. The purpose of these CACs is to meet regularly to discuss possible improvements for the neighborhood, from a cultural or solidarity point of view, or the beautification of the living environment. The CACs are autonomous, and have an envelope of 7,000 Euros per year to carry out their projects.

CAC members are volunteers, and there is no compensation for them in this budget. They are guided by representatives of the town hall, who provide various tools to facilitate the work. There are no conditions for participation in the CACs, regardless of profession, age, gender; the goal is to best represent the rich diversity of the Dionysian population with the aim of engaging as a citizen to develop their neighborhood and a common future. The proposed projects must serve the general interest, by making culture accessible to all, creating links between generations and populations, and making neighborhoods more pleasant and attractive to live in.

The innovation of this device is the hyper-proximity that the division of the districts favors more than in other cities. As a result, participatory democracy and citizen participation are easier to implement through direct contact with citizens, meetings that bring out project ideas, reflections produced by collective intelligence, and financial support and technique of the City to perpetuate the process of self-management.

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Les Comités d’Actions Citoyennes (CAC) sont une amélioration des Conseils de Quartiers mis en place en 2002 par la loi Vaillant. Il existe actuellement 44 CAC, chacun basé sur un micro-quartier de la ville (selon les groupes scolaires), avec un élu référent par CAC, pour garantir la légitimité des projets proposés. Les CAC sont organisés comme des groupes de travail composés majoritairement de citoyens, dont des acteurs locaux (associations, entreprises, etc.) et sont soutenus et accompagnés par des représentants de la mairie, que ce soit les élus ou les chefs de projets. Le fonctionnement du CAC est fixé par un règlement intérieur, défini lors de la toute première réunion de travail. Le but de ces CAC est de se réunir régulièrement pour discuter des améliorations possibles pour le quartier, d’un point de vue culturel, solidaire, ou de l’embellissement du cadre de vie. Les CAC sont autonomes, et disposent d’une enveloppe de 7 000 Euros par an pour mener à bien leurs projets. 

Les membres des CAC sont bénévoles, et il n’est pas prévu de rémunération pour eux dans ce budget. Ils sont guidés par les représentants de la mairie, qui mettent à disposition différents outils pour faciliter le travail. Il n’y a pas de conditions de participation aux CAC, peu importe la profession, l’âge, le genre; le but est de représenter au mieux la riche diversité de la population dionysienne avec l’objectif de s’engager de façon citoyenne pour développer son quartier et un avenir commun. Les projets proposés doivent servir l’intérêt général, en rendant accessible à tous la culture, créer du lien entre les générations et les populations, et rendre les quartiers plus agréables à vivre et attractifs. 

L’innovation de ce dispositif est l’hyper-proximité que le découpage des quartiers favorise plus que dans d’autres villes. De ce fait, la démocratie participative et la participation citoyenne sont plus faciles à mettre en place grâce à un contact direct avec les citoyens, les réunions qui font émerger des idées de projets, des réflexions produites par l'intelligence collective, et le soutien financier et technique de la Ville pour pérenniser le processus d’auto-gestion.

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Los Comités de Acción Ciudadana (CAC) son una mejora de los Consejos de Distrito creados en 2002 por la ley Vaillant. Actualmente existen 44 CAC, cada uno basado en un micro distrito de la ciudad (según grupos escolares), con un referente electo por CAC, para garantizar la legitimidad de los proyectos propuestos. Los CAC se organizan como grupos de trabajo compuestos mayoritariamente por ciudadanos, incluyendo actores locales (asociaciones, empresas, etc.) y cuentan con el apoyo y acompañamiento de representantes del ayuntamiento, ya sean cargos electos o gestores de proyectos. El funcionamiento del CAC está fijado por un reglamento interno, definido en la primera reunión de trabajo. El objetivo de estos CAC es reunirse periódicamente para discutir posibles mejoras para el barrio, desde un punto de vista cultural, solidario o de embellecimiento del entorno de vida. Las CAC son autónomas, y disponen de una dotación de 7.000 euros anuales para llevar a cabo sus proyectos.

Los miembros del CAC son voluntarios y no hay compensación para ellos en este presupuesto. Son guiados por representantes del ayuntamiento, quienes brindan diversas herramientas para facilitar el trabajo. No existen condiciones para la participación en los CAC, independientemente de la profesión, edad, género; el objetivo es representar mejor la rica diversidad de la población dionisiaca con el objetivo de comprometerse como ciudadano para desarrollar su barrio y un futuro común. Los proyectos propuestos deben servir al interés general, haciendo que la cultura sea accesible para todos, creando vínculos entre generaciones y poblaciones, y haciendo que los barrios sean más agradables y atractivos para vivir.

La novedad de este dispositivo es la hiperproximidad que la división de los distritos favorece más que en otras ciudades. Como resultado, la democracia participativa y la participación ciudadana son más fáciles de implementar a través del contacto directo con los ciudadanos, encuentros que generan ideas de proyectos, reflexiones producidas por la inteligencia colectiva y el apoyo financiero y técnico de la Ciudad para perpetuar el proceso de autogestión.

Más información: www.saintdenis.re